- Roxanne Van Dyke

- 6 août 2024
- 10 min de lecture
Dernière mise à jour : 8 oct. 2024
En introduction
L'anxiété est un sujet qui m'a touché personnellement et profondément. Dans sa version "augmentée" en angoisse, il m'a fallu deux burn-out en français "syndrome d'épuisement professionnel"; plus précisément "épuisement physique”, émotionnel et mental, qui résulte d'un investissement prolongé dans des situations de travail exigeantes sur le plan émotionnel. Pour prendre conscience de ce qui n'était plus tolérable pour moi, mon corps ayant finit par parler suffisamment fortement pour que je l'écoute !
Cependant, elle m'a permis de faire des choix différents et de prendre action pour moi, vis-à-vis de facteurs extérieurs. C'est donc d'autant plus important pour moi d'évoquer ce sujet, dans mon blog. D'un part, pour en parler ouvertement et d'autre part, pour aider celleux, qui viennent à vivre cet état. Pour comprendre, prendre conscience, de ce qui se joue et-ou de faire le choix d'être aidé.
Dans notre société moderne actuelle, les facteurs anxiogènes sont multiples et variés. De plus, elle touche toutes les tranches de la population et même les plus jeunes d'entre-nous bien plus tôt qu'on ne l'imagine. Et même cela à tendance à s'aggraver dans les dernières années pour les plus jeunes d'entre-nous, que cela soit le tribut des réseaux sociaux et-ou de l'éco-anxiété, les risques d'un état anxieux s'amplifie.
L'anxiété peut être un prémisse à une dépression, aux crises d'angoisse ou un symptôme de burn-out ou d'autre état de santé mentale en détresse. Si elle est récurrente, que régulièrement vous sentez un état anxieux vous accaparer, ne l'ignorez pas ou ne le banalisez pas.
Croyez-moi, pour être passée par là, je vous conseille vraiment de prendre au sérieux cet état.
Selon une enquête de CoviPrev en France mise en place depuis 2020, les points relevés indiquent :
74 % des personnes âgées de 18 ans ou plus déclarent prendre soin de leur santé mentale
85 % pensent pouvoir agir sur leur santé mentale et leur bien-être
67 % considèrent que le soutien de l’entourage fait partie des solutions les plus efficaces (50 % en ce qui concerne la psychothérapie)
24 % trouvent honteux le fait de parler de ses problèmes psychologiques à certaines personnes de l’entourage (famille, ami·e·s ou les deux)
42 % estiment que le prix représente l’un des principaux obstacles à la consultation d’un psychiatre, psychologue ou psychothérapeute en cas de problèmes d’anxiété ou de dépression
30 % des personnes souffrant d’un état anxieux ou dépressif ne croient pas en l’existence de solutions efficaces pour soigner la dépression (28 % pour soigner l'anxiété)
Ce sont des chiffres, ils parlent d'un panel. Evidemment, ce n'est pas une situation personnelle. Cependant, cela montre l'importance de l'anxiété dans notre système sociétal actuel et que si vous le vivez, vous êtes loin d'être seulæ.
Pourquoi s'actionne-t-elle ?
L'anxiété s'actionne pour différentes raisons, mais généralement c'est un signal, comme nombre d'émotions.
Pour apporter une forme de compréhension à cet état, j'ai souhaité partir de la définition du dictionnaire LAROUSSE :
anxiété - nom féminin - (latin anxietas)
1. Inquiétude pénible, tension nerveuse, causée par l'incertitude, l'attente ; Synonyme : angoisse
2. Trouble émotionnel se traduisant par un sentiment indéfinissable d'insécurité.
Une remarque sur le synonyme qui évoque l'angoisse, l'angoisse est la version de l'anxiété augmentée et sur une longue durée. A savoir que l'anxiété se révèle généralement en premier, si le phénomène d'anxiété se prolonge et devient plus présent ou quotidien, il peut se transformer en angoisse voir en crise d'angoisse. L'angoisse est donc la version plus accentuée de l'anxiété. Lors de phénomène d'angoisse régulier, n'hésitez pas à consulter.
Si l'on se penche sur la définition, on peut comprendre que l'anxiété 😧 se révèle agir sur 3 principaux facteurs essentiels le corps, les émotions et le schéma de pensées :
le système nerveux 😬⚡️
sur un pan émotionnel 😭😡😱
menant à un état qui fragilise notre niveau de sécurité 🚨
Prenons le temps d'observer de plus près ces 3 facteurs :
Si l'on s'arrête sur le rôle du système nerveux dans le corps :
Le système nerveux est un réseau complexe de nerfs et de cellules nerveuses (neurones) qui font circuler des signaux et des messages provenant du cerveau et de la moelle épinière vers différentes parties du corps, et vice versa. Il est constitué du système nerveux central et du système nerveux périphérique.
L'anxiété est donc une mise en action de signaux de notre cerveau et de notre corps.
Pas étonnant que l'état anxieux génère un état de nervosité accru, d'état de pensées excessives parfois incohérentes comparative à notre état habituel.
Ces signaux actionnent généralement à la suite un état émotionnel, qui révèle une insécurité.
Nos émotions sont des messagers qui cherchent à maintenir un équilibre dans l'ajustement entre nous-même, les autres et les facteurs extérieurs
L'anxiété réveille différent état émotionnel; propre aux enjeux sécuritaires qui sont les nôtres.
Et pour terminer l'anxiété joue donc sur notre notion de sécurité. Pour ce point, je vais l'aborder selon le principe de la pyramide des besoins selon MASLOW, dont le but du besoin de sécurité :
Le besoin de sécurité consiste à se protéger contre les différents dangers qui nous menacent. Il s’agit donc d’un besoin de conservation d’un existant, d’un acquis. Il s’inscrit dans une dimension temporelle.
Il peut être aussi utile de s'attarder dans ce cas, sur. les notions du besoin et du désir :
Le besoin est une « nécessité ressentie », d'ordre physique, social ou mental. La satisfaction ou non-satisfaction (manque) s'exprime à travers des sensations : la faim exprime le besoin de manger, la satiété signale le besoin satisfait ; la peur exprime le besoin de sécurité, le calme signale le besoin satisfait…
Le besoin est une nécessité en cela que, s'il n'est pas satisfait, il bloque le processus de vie (besoins vitaux) ou de développement de l'individu (besoins sociaux, besoins mentaux…).
Le désir est exprimé par le cerveau inconscient sous forme d'une émotion qui en signale la présence et la satisfaction ou la non satisfaction (manque). Le désir peut s'exprimer et se définir — c'est en ce sens qu'il est conscient —, mais son origine est inconsciente, un peu plus élaborée que le besoin. Le désir serait une sorte de sublimation d'un besoin précisé, imagé, que l'on peut voir, imaginer, on en rêve, et c'est ce qui fait sa force. Par exemple, tout individu a besoin de survivre en cas d'attaque, par la contre-attaque ou la fuite (actions inconscientes ou instinctives). En revanche, vouloir posséder une moto est un désir. C'est une vision comportementaliste du besoin et du désir.
Il est de ces faits intéressant de constater que l'on se questionne par effet anxiogène autant sur des besoins que sur des désirs.
D'où le questionnement sur ce qui rend anxieuxe sur quoi se fonde-t-il ?
Pousser la réflexion
Une mise en "parallèle" en résumé, si je relie ces trois axes de la définition et des rôles qui sont en "jeu", on peut en résumer la teneur de l'anxiété ainsi :
L'anxiété est un signal de mon cerveau et-ou de mon corps, qui émet un questionnement pour vérifier l'équilibre à l'intérieure de moi, vis-à-vis des autres ou de facteurs extérieurs. En d'autre terme, il y a un mouvement dans ma sécurité intérieure vis-à-vis de la sécurité extérieure, il y a quelque chose n'est pas en accord.

Que vient-elle me montrer ?
Je vais aborder ce point depuis l'angle de la prise de conscience que l'anxiété peut vous permettre d'observer et des outils de premier recours.
Je précise que ce n'est pas une généralité mais un outil de départ de compréhension, qui n'est pas personnel car toute situation est propre à chacunæ et différemment vécue. Sans parler des besoins et/ou injonctions qui sont liés en arrière-plan. Qui peuvent nécessiter un accompagnement plus adapté.
L'anxiété peut être considérée comme un message qui vous demande d'observer un état de déséquilibre pour vous, par rapport à d'autres personnes ou en lien avec des facteurs extérieurs. Qui dit éveil un : ce n'est pas aligné, ça ne va pas, ça ne me convient pas, ça me fait peur, ça m'agite, ça me secoue etc.
Que cela soit de votre système nerveux en demande d'une attention particulière. Un système de pensées qui est acculé par trop d'informations, qui sature et/ou des émotions qui s'éveillent que vous n'avez jamais connu auparavant.
Ce sont là des premiers indicateurs, d'un état différent qui devrait soulever votre attention à ce qui se joue pour vous, ce que vous avez à voir.
Elle vous évoque que vous avez à prendre des décisions ou faire des choix ou vous différencier, de comparer une situation réelle ou de facteur de projection, pour vous libérer et que l'anxiété cesse.
La vie vous demande de faire ce qui est juste pour vous.
C'est donc un moment de vie pour vous, de faire le point sur ce qui vient vous chercher dans vos valeurs profondes et personnelles.
Quoi faire alors ?
Je vous propose une liste de questions pour vous aider à développer des réponses :
Qu'est-ce qui me touche dans mon corps, dans mon coeur et dans mes pensées ?
Quel lien je peux faire entre mon besoin de sécurité intérieure et la sécurité extérieure que j'ai ?
Ai-je une possibilité de choisir de changer quelque chose pour que cela soit plus agréable pour moi ?
Est-ce que je peux changer quelque chose à mon niveau pour faire une amélioration ?
Est-ce réel ou est-ce que je projette quelque chose ?
Quel est le risque de prendre une décision pour changer le situation ?
Puis-je faire accompagner seul-e le changement nécessaire ? Ou dois-je demander un soutien ?
Que faire de mes réponses ?
Prenez le temps de mettre ces questions par écrit pour vous en y répondant que du point de vue de votre sentis pas pour les autres et "à cause des autres".
Laissez-les de côté quelques jours.
Relisez ensuite, observer dans votre corps - de votre coeur et dans les pensées qui sont montées, ce qui vous touche le plus.
Si vous êtes encore en peine avec ce qui se joue, un accompagnement peut vous aider.
Ce sont un point de départ et une aide de premier recours. Si vous êtes bloqué-e demandez un soutien ou essayez les techniques qui suivent.
Que puis-je faire pour atténuer l'anxiété par moi-même ?
Je vous indique ici 10 astuces / conseils pour diminuer l'anxiété qui sont possibles à votre niveau :
1. Identifier les déclencheurs 🚨 : Prenez note des situations, des pensées ou des événements qui provoquent votre anxiété. Cela peut vous aider à ensuite les anticiper et les gérer plus efficacement en le mettant par écrit, vous les déposez ailleurs de dans votre tête.
2. Pratiquer la respiration profonde et consciente 🌬 : Les techniques de respiration profonde et consciente peuvent aider à calmer le système nerveux - la respiration carrée peut aider à vous calmer en 10 minutes :
Inspirer lentement par le nez 👃🏻 en sentant l'air entrer durant 4 secondes,
Retenez votre souffle pendant 4 secondes
Expirer lentement par la bouche 👄 durant 4 secondes
Retenez votre souffle pendant 4 secondes
Continuer l'exercice autant que nécessaire pour vous sentir plus apaisæ, tout en respectant votre intégrité respiratoire.
3. Adopter une alimentation équilibrée 😋 : Une alimentation saine et équilibrée peut avoir un impact positif sur votre humeur et votre niveau d'énergie. Et atténuer le stresse et donc l'anxiété.
Essayez d'inclure des aliments riches en nutriments comme les fruits 🍌, les légumes 🥒, les protéines maigres et les grains entiers.
A dose modérée le chocolat noir 🍫, à haute teneur en cacao, grâce au magnésium et antioxydants, permet de d'augmenter la sérotonine qui prévient l'anxiété.
Si vous n’avez pas d’allergie, les comprimés d’iode peuvent en cure, soulager le système nerveux et agir sur la glande thyroïde qui émet notamment des hormones qui régule le sommeil, le métabolisme, la faim et la reproduction.
4. Limiter la consommation de caféine ☕️ et d'alcool 🍷:
Ces substances peuvent augmenter les niveaux d'anxiété en raison de leurs effets excitant ou acidifiant.
Essayez de les réduire ou de les éviter complètement si votre état anxieux est élevé.
5. Établir des limites claires 🛑 : Apprenez à dire non et à établir des limites pour éviter de vous surcharger physiquement, mentalement et émotionnellement. Cela peut inclure la gestion de votre temps et de vos engagements pour réduire le stress et l'anxiété du "remplir" trop.
6. Maintenir une routine régulière 🕗 : Avoir une routine quotidienne stable peut apporter un sentiment de stabilité et de prévisibilité, ce qui peut réduire l'anxiété. Prenez un temps pour vous tous les jours, 5 minutes suffisent pour juste respirer, contempler un paysage, écrire, lire, faites-vous une thé-café et savourez-le comme si c'était le 1er de votre vie. Déposer vos appareils connectés pour vous reconnecter à vous.
7. Bouger régulièrement 🚶🏻♀️: L'activité physique libère des endorphines, qui sont des hormones du bien-être, du bonheur.
Même une marche journalière de 10 à 20 minutes peut faire une grande différence.
8. Pratiquer la pleine conscience / présence 🧘🏼 : La méditation de pleine conscience ou les exercices de relaxation peuvent aider à ancrer votre esprit dans le moment présent et à réduire les pensées anxieuses.
Je propose une session hebdomadaire Méditation & Paroles les mardis soir en ligne ou à l'Espace de Vinzier (74).
9. Parler à quelqu'un de confiance 🗣 : Partager vos préoccupations avec une personne de confiance, un ami-e, un membre de votre famille, un collègue, n'importe qui qui saura vous écouter complètement, sans jugement.
10. Oser se faire aider 🆘 :
Il n'y aucune honte ou mauvaise raison de demander de l'aide !! Prenez le temps de trouver le soutien qui vous fera du bien. Et un professionnel peut vous aider à voir les choses sous un autre angle et à alléger votre charge mentale. Lors de mon burn)out, j'ai consulté et cela m'a permis de sortir la tête hors de mes angoisses.
Ces conseils sont basés sur des pratiques courantes et peuvent être adaptés à vos besoins personnels.
N'hésitez pas à essayer différentes approches pour voir ce qui fonctionne le mieux pour vous.
L'importance de ne pas ignorer l'état d'anxiété prolongé
Je souhaite également vous rappeler l'importance de ne pas se laisser "embarquer" par l'anxiété si elle se prolonge ou se transforme en angoisse.
Si vous avez des sujets qui vous mettent face à de l'anxiété, parlez-en autour de vous. Si vous avez personne ou que l'on "minimise" vos propos, parlez-en à votre médecin.
Il existe des solutions pour le soutien à la santé mentale, ne restez pas seul(e) dans cette situation, se faire aider n'est jamais "mal" au contraire.
Je peux vous accompagner en séance de kinésiologie consciente, jusqu'à un certain point. Cependant dans certaines situations, je vous redirigerai auprès d'un(e) professionnel(le) de la santé mentale.
En tout temps, vous pouvez également appeler ce numéro de téléphone gratuit 01 42 96 26 26 de SOS AMITIE ou via une messagerie en ligne sur le site https://www.sosamitieidf.asso.fr/besoin-de-parler/
Et surtout prenez soin de vous tout autant que vous prenez soin des autres, de vos animaux, de votre entreprise; car si vous n'êtes plus là pour vous, ne l'êtes pas réellement pour les autres. Vous êtes votre première priorité 💎
J'espère sincèrement que cet article vous aura aidé, n'hésitez pas à le commenter ou le partager.
Roxanne
- Roxanne Van Dyke

- 22 juin 2024
- 4 min de lecture
Pour se rafraîchir et se faire du bien en même temps 🍋
Maintenant que les beaux jours pointent le bout de leur nez, préparez-vous une boisson simple et efficace, pas de sucre industriel et avec beaucoup d'amour en plus ! 💚

C'est très bon ça ! - Ma belle-maman a adoré 😃
Les limonades ont en connaît plein, on les achète vite fait au supermarché, sauf qu'elle sont souvent très sucrée et pas toujours dans un emballage "sain" en plastique, c'est pas fantastique. Les recettes il y en a plein aussi, mais celle-ci est différente, évidemment 😉
Cette limonade est une boisson idéale pour vous hydrater, stimuler votre énergie, votre concentration et même intéressante pour perdre du poids grâce au maté. Elle est également intéressante pour la digestion grâce à la menthe et au citron.
⚠️ Veuillez notez que cette boisson est énergisante car elle contient de la caféine, elle doit être consommée en journée, si vous avez un sommeil sensible.
Je vous conseille de la boire jusqu'au début d'après-midi et pas plus de 2 verres de 2 dl par jour.
Limonade maté, citron et menthe poivrée
Vous aurez besoin de :
Un contenant idéalement une carafe en verre (qui conservera les nutriments et les bienfaits des ingrédients) d'une contenance d'un litre au minimum, la recette est pour un litre.
Une théière, un filtre à thé ou une passoire, une planche à découper et un couteau.
Des feuilles de menthe fraîche bio entre 5 et 10 feuilles en fonction de votre goût (on aime celle qui pousse au jardin 🌱)
1 litre d'eau (du robinet généralement elle est très bonne) ou passée au filtre à charbon (le must de l'eau de source si vous en avez dans votre région)
1 citron jaune bio
1 citron vert bio
Du maté bio en feuilles environ 10-15 gr pour 1 litre
Si vous souhaitez sucrer :
une cuillère à soupe de sucre de canne ou du miel de fleurs local
Je vous suggère des ingrédients bio, pour éviter les différents pesticides ou autres produits pas top top pour la santé.
Il s'agit d'un choix personnel pour nourrir avec une qualité consciente mon corps.
Vous êtes évidemment libre de prendre les ingrédients non bio.
La préparation
C'est parti pour la préparation de votre "potion magique" 🤩
Pour éviter la caféine, supprimez le maté de la recette et passez directement au point 2, la boisson ne sera plus énergisante mais plus indiquée pour les personnes ne pouvant pas consomme de caféine, notamment les femmes enceintes.
Commencez par préparer l'infusion de maté 🍵. Dans une théière disposer le filtre à thé avec le maté ou directement dans la théière, dans ce cas vous aurez besoin de la petite passoire pour verser le contenu dans votre carafe. Faites cuire l'eau mais pas à ébullition, la température doit être en 70 et 80 degrés, puis la verser dans la théière. Faire infusion entre 5 à 10 minutes et ensuite enlever le filtre à thé ou filtrer dans la passoire le maté et réserver dans un autre contenant en verre ou théière (pas dans la carafe prévue pour la limonade que l'on veut fraiche. Laissez refroidir le temps de préparer la suite Plus longtemps vous laisserez infusion plus la limonade sera énergisante.
Découper les citrons 🍋 en rondelles de 5mm d'épaisseur pas trop fine. Réservez 1 rondelle de chaque citron jaune et vert, pressez-les dans la carafe, mettez-les ensuite avec toutes les autres rondelles dans la carafe.
Si vous voulez sucré 🍯 ajoutez le sucre de canne ou le miel dans la carafe et mélanger avec le citron.
Pour la menthe 🌱, prenez les feuilles ou les détacher en pinçant la feuille de la branche et roulez entre vos mains une feuille après l'autre pour faire sortir les arômes et en plus vous aurez les mains qui sentiront bon
C'est le temps de la mixologie 🧊 ! Vérifier la température de votre maté, s'il es trop chaud vous pouvez ajouter des glaçons dans la théière et dans la carafe. Une fois votre maté refroidit incorporez le maté à votre préparation dans la carafe. S'il vous reste du maté, gardez-les et ajoutez le surplus après les premiers verres consommés. Rien en se perd, rien ne se crée, tout se transforme 😉 Pour la recette sans caféine, ajouter des glaçons (si vous le souhaitez) et verser l'eau sur la préparation.
Placer la carafe au réfrigérateur, couverte d'un film de protection ou d'un tissu cire d'abeille, si vous n'avez pas de couvercle qui ferme la carafe. Cela permet de conserver les goûts. Laissez-la 1 heure pour qu'elle soit bien fraiche et que les ingrédients ait pu bien diffuser leurs magies ✨

Santé !!!
Pour ma part, j'aime boire cette boisson le matin en été en remplacement du café, ça me fait du bien en plus d'être frais et mon ventre me remercie.
Je me réjouis d'avoir vos retours sur cette recette et ce que vous en avez pensé 🙋🏼♀️💁🏻♂️ Mettez-vos commentaires dans l'article ou participez au groupe de la communauté Au Coeur de.
A bientôt pour les prochaines recettes ou articles par ici.
Prends soin de vous et de la planète 🌍
Roxanne
- Roxanne Van Dyke

- 27 févr. 2024
- 11 min de lecture
Dernière mise à jour : 6 août 2024
« Comment vous sentez-vous face au conflit ? »
Lors d'un conflit, je suis :
0%Sans capacité de réponse, je subis, je ne suis pas à l'aise
0%Je suis calme, je répond avec cohérence, je suis chez moi
Le conflit est le plus souvent considéré comme un mauvais moment; une situation que l'on ne veut pas vivre, que l'on évite.

Cela semble logique, si l'on s'arrête un instant sur la définition* du Larousse, est :
Violente opposition de sentiments, d'opinions, d'intérêts
Synonymes :
Contraires :
{ * je n'évoque pas ici la notion, l'état de guerre, l'aspect juridique, pour faire un focus sur ce qui a trait aux relations humaines}
Ce que j'aime également prendre en compte en plus de la définition, qui évolue au fil du temps, c'est l'étymologie des mots, à savoir leur racine originelle :
Donc nous sommes effectivement dans un mouvement qui nous met en opposition, en lutte avec ou sans violence.
Il semble logique que l'on ne veuille pas s'y frotter, non ?
Malgré tout, il y a du bon (sans dire ici qu'il faut le créer) dans le conflit relationnel.
Il nous incite à nous positionner
Souvent la vie nous met face au conflit dans nos relations. Il nous fait entrer en lutte avec l'autre de prime abord, mais bien plus avec nous même.
En effet dans le conflit, nous sommes en confrontation avec l'autre sur des questions de nos valeurs, de nos choix versus les enjeux de la relation.
Quels enjeux ? Il s'agit en grande partie des liens d'attachement (ndlr j'en parle plus bas plus en détail), des langages de l'amour, des aspects économiques, de la confiance et le respect mutuel.
Nous y sommes tous confronté un jour ou l'autre, quelles que soit les relations : de couple, parents-ado/enfant, au sein de la famille ou dans le cadre professionnel. Car les relations sont l'espace dans lequel nous sommes amenés à expérimenter notre lien d'affection, notre amour.
Si je suis en désaccord, je suis en présence d'une situation dans laquelle il s'agit de me positionner. Facile à dire !?!
C'est à ce moment-là que je peux être en confrontation avec ma relation ou que j'ai la possibilité d'être véritablement moi.
Si je suis dans mon mental et de nature à être orienté vers l'autre plus que vers moi-même : plusieurs hypothèse vont se mettre en place en fonction de mes mécanismes ou stratégies de survie.
Je vais peser le pour / le contre, les risques de m'exprimer et si la balance "pèse" du côté du maintien de la relation et de ses enjeux , fréquemment je me soumet à l'avis de l'autre pour ne pas me mettre en danger, les stratégies s'actionnent.
" Si je dis ça à ma mère, elle ne me le pardonnera jamais et je ne veux pas perdre la relation que j'ai avec elle. " " Dire ça à mon patron, jamais je risquerai de perdre mon emploi et je ne peux pas me le permettre. "
Evidemment, cela amène son lot de frustration, d'amertume, de déception, d'auto-jugement.
" Je n'arriverai jamais à me dire à ma mère qu'elle m'étouffe et que je ne peux pas vivre ma vie comme je l'entend, elle sait toujours mieux que moi, ce qui est bon pour moi.... Je me sens tellement en colère.... "
" Mais pourquoi je continue à faire ce travail, alors que je ne me sens pas à ma place.... Je me sens tellement dévaluée par mon supérieur... “
Et / ou mes émotions prennent le dessus, je suis dans l'emportement.
Les émotions dites "négatives" (je le met entre des guillemets car elles sont emportantes, si elles sont rapides et claires elles sont positives (ndlr un post à venir sur les émotions et voir mes ateliers à ce sujet)), elles sont des indications que je suis en train de mettre des limites/une distance (la colère), de lâcher (pleurs, larmes), de reculer/fuir (peur) mais je ne le fais pas de faire de manière cohérente, car je suis "hors de moi" dans l'incapacité de répondre en pleine possession de mes moyens.
Une probabilité également; une relation dans laquelle je suis manipulé(e) ou je peux également manipuler. Cela se met en place, lorsque la relation n'est pas équilibrée ou les enjeux trop risqués. L'une ou l'autre des parties ayant le dessus sur l'autre très souvent derrière cela, il y a la présence d'une blessure commune qui est nourrie par cette situation de déséquilibre, elle même générant une dépendance (affective, monétaire, sexuelle, etc...).
Comment se positionner ?
Si j'essaye de le faire lorsque je suis dans mon mental stratégique ou dans mes émotions emportantes, je n'arriverai pas à me faire comprendre pour les raisons citées précédemment.
Il est donc nécessaire de faire le point sur ce qui m'empêche de me positionner, de reconnaître ce qui se joue à l'intérieur de moi, comme à l'extérieur.
Pour cela je vous propose des exercices (cf pistes d'introspection) (à faire du 1 au 3 dans l'ordre) :
1. Prendre un pas de recul Dans un premier temps, s'asseoir avec soi dans le calme.
A l'aide d'un cahier et un crayon relevez toutes les relations conflictuelles dans lesquelles vous rencontrez ou avez rencontrés des difficultés à vous positionner. Faites des colonnes pour chaque point et indiquez :
dans quelle relation (avec qui) ?
qu'est-ce qui est le déclencheur ?
est-ce que je suis dans mon mental quand ça survient ?
est-ce que je suis dans une émotion emportante et laquelle ?
je ne peux rien faire ou dire (tétanisée)
est-ce que l'une des 2 personnes dans le conflit a toujours le dessus, si oui, qui ?
qu'est-ce que j'ai perdre ?
quel est le risque majeur que je prend à me positionner ?
comment le fait de ne pas arriver à me positionner dans cette relation, me fait me sentir ?
comment je me sentirai si je pourrai exprimer ce que je souhaite ?
Ensuite, lisez ce que vous avez écrit ligne après ligne à haute voix ou même mieux enregistrez-vous et réécoutez-vous ensuite. (l'écoute de soi est un outil très puissant).
Observer comment cela vous fait vous sentir après cet exercice, notez ce qui se passe dans votre corps, vos émotions et votre mental, tout est juste, s'il n'y a rien, c'est OK aussi notez le.
2. Est-ce que des situations de relations conflictuelles se rejoignent sur ce qui j'ai relevé ?
Est-ce que dans l'exercice précèdent je constate des similitudes dans ma manière de fonctionner dans les relations conflictuelles ?
- si oui, je prend le temps de le relever dans mon cahier en entourant par une couleur identique ce qui est similaire. (par ex. : je suis dans mon mental à chaque situation de conflit = je les entourent de bleu)
- si non, c'est OK aussi, on peut avoir des attitudes différentes en fonction des relations et des enjeux différents.
Le plus important dans ce point c'est de prendre conscience de mon comportement dans mes relations à conflit. Plus je suis en présence de ce qui se joue, plus je peux prendre acte et observer mes mécanismes et les stratégies de survie qui s'active pour moi.
En faisant ces deux exercices en dehors d'un conflit, je peux me mettre face à moi-même honnêtement. Je prend ma propre responsabilité vis-à-vis de moi-même et de ce que je souhaite vivre ou non, je peux ensuite, mettre des mots en présence de moi-même et observer à l'intérieur de moi, avant de pouvoir exprimer à l'extérieur de moi.
Si je m'exerce sur "comment je me sens" en solo, dans une prochaine situation, je serai déjà plus clair avec moi et donc, je le serai ensuite avec la relation en conflit, je pourrais mieux me positionner.
3. Face à la réalité
Après avoir fait les deux exercices précédents, activer votre mode observation de vous-même.
Dans la prochaine situation de conflit relationnel :
> observez-vous (en présence de ce que vous vivez, regardez-vous comme une caméra dans un angle de la pièce)
> constatez-vous une différence dans le manière dont cette situation s'est déroulée ?
> avez-vous agit différemment, si oui comment ?
Plus je mets de présence/conscience sur ce que je vis, ce que cela me fait sentir et sur ce qui se joue, plus j'arrive à exprimer et à me positionner. Je commence par le vivre chez moi, avant de pouvoir le faire avec l'autre.
Lorsque j'ai l'espace d'être entièrement moi-même à l'intérieur de moi, je suis dans le calme "de moi", je peux tout dire, même si ce n'est pas la même "vérité" en face de moi et même si à l'extérieur de moi c'est agité.
On est d'accord, que l'on est pas d'accord
Avoir l'espace de pouvoir être accueilli entièrement et pleinement, il faut que dans la relation on puisse "être d'accord ne pas être d'accord". Or ce n'est pas toujours possible, il est vrai, car cela nécessite une relation consciente et équilibrée. Sauf que pour être à sa juste place, nous devons pouvoir être reçu dans notre différenciation, tout autant que nous devons accueillir la différence de l'autre. Et ce n'est pas aisé car le "non" est souvent perçu en premier comme une fermeture.
Pour se sentir en capacité de dire "non" je ne suis pas d'accord avec toi, il est important que j'ai pu apprendre à dire non, sans que cela me soit interdit.
J'entend par là qu'au moment du développement de ma communication enfant, j'ai pu apprendre le "non" sous la forme d'une "expression" claire, ainsi que mon territoire/ma zone à moi ait été respectée.
Si à chaque fois que j'ai voulu exprimé un "non" j'ai été réprimandé/puni ou que des injonctions sont passés par là "on ne dit pas "non"; ou que mes parents n'ont pas eu la capacité de m'accueillir dans ce besoin, il se peut qu'adulte je ne sois plus capable de le formuler de manière adéquate pour moi et donc d'exprimer mes besoins.
Or il est impératif de pouvoir exprimer son "non" de façon à ne pas se retrouver dans des relations non authentiques, qui laisse la place à l'autre car je ne peux jamais me positionner ou nourrie par une blessure commune et/ou par une dépendance.
Il s'agit d'instaurer cette notion de "on est d'accord qu'on est pas d'accord" et de pratiquer dans la mesure du possible une communication non violente, qui mettra l'accent sur l'expression de ses besoins et qui permet ensuite une situation de dialogue et d'échange.
Les bases de cette forme de communication passe par s"exprimer en "je" et pas en "tu" qui montre du doigt l'autre, de placer le "je" avec une sensation (comment je me sens moi dans la situation) "je me sens déstabilisé(e)" - "je me sens pas entendu(e), j'ai peur, je suis inconfortable, etc..." et apporter l'explication de son besoin derrière la sensation "je me sens déstabilisé(e) parce que j'ai peur que tu partes" - "je me sens pas entendu(e), j'ai de la peine à te dire ce que j'ai sur le coeur car je ne veux pas que l'on se dispute ensuite".
Si vous souhaitez aller plus en profondeur dans cette méthode de communication, je vous conseille les livres de Marshall B. Rosenberg.

« Connaître une chose et en vivre une autre est une erreur, un contresens. A partir de là, une tension apparaît. Elle est due au conflit de la pensée et du sentiment. Connaître, c'est être. » - Swami Prajñanpada
A la lecture de cette citation; j'ajouterai cette notion de sa compréhension, si vous vous connaissez suffisamment pour mettre des mots sur ce que vous sentez, vivez et sur ce dont vous avez besoin; que vous reconnaissez vos schémas de pensées et vos stratégies/mécanismes de survie qui s'actionnent; plus vous pourrez communiquer clairement et en présence intérieure votre avis, vos choix et vos directions à vos relations; mieux vous vivrez vos relations et plus elles seront enrichissantes, car vous serez dans votre authenticité.
Être authentique, c'est aussi oser montrer sa part de vulnérabilité et tout autant laisser l'autre dans sa vulnérabilité pour qu'il puisse à son tour être authentique.
Être en désaccord, n'est pas ne pas "aimer"
Lors d'un conflit, nous pouvons être dans une situation de jeux de pouvoir qui nous dicte que si je ne suis pas en accord avec toi, je ne t'aime pas (ou toute autre situation de pouvoir) mais je me concentrai sur celle-la ici.
Il s'agit d'une injonction commune, qui peut trouver sa source dans des déséquilibres au sein de nos liens d'affection. La façon de concevoir l'amour, est liée à la manière dont nos liens d'affection primaire, secondaire et tertiaire sont construits.
Notre lien primaire d'affection, est celui qui nous lie à notre mère. C'est un lien primordial qui instruit notre première façon d'accéder à l'amour. En fonction de comment j'ai été relié à l'amour par ma mère, se construiront ensuite les liens secondaire et/ou tertiaire.
Les liens d'affection secondaires sont les relations que l'on va crées ensuite avec nos autres membres de famille, nos amis, nos partenaires, nos collègues. Elles sont le terrain dans lequel nous éprouverons le lien primaire initié avec notre mère. En bien ou moins bien, par exemple : je veux être la même mère que le mienne ou à l'inverse je ne serai jamais comme ma mère.
Finalement, si nous ne trouvons pas de satisfaction affective dans nos relations primaires et secondaires, nous en créerons un lien d'affection tertiaire, une forme d'affection détournée, telle que la dépendance à une relation avec un animal, avec l'argent, la sexualité, les addictions : alcool, tabac & drogue.
En résumé, si dans mes liens d'affection je ne peux pas être en désaccord sans que cela provoque en moi le sentiment que je ne serai pas aimer ou pire que je vais perdre la relation ou que je risque une réaction que je ne veux pas subir, alors je me coupe de moi et je ne m'exprime pas et je laisse les fonctionnements s'actionner en mode "survie".
L'idée encore une fois est de prendre acte consciemment de ce qui nous coupe de notre propre réalité et donc de nos vrais besoins et de mettre le doigt sur ce qui me met en résistance.
Pour cela, un exercice, avec quelques pistes à explorer :
Ai-je été soutenue lorsque je n'étais pas d'accord enfant ?
Des injonctions sont-elles présentent dans mes pensées ?
sois parfait, sois fort, tais-toi, sois sage, sois gentil-le, ce n'est-pas beau de dire non, ce n'est pas poli
il ne faut pas dire non à ta mère-père, ton supérieur, etc....
je veux faire plaisir, pas déranger, pas gêner, pas d'histoire
Comment je me sens lorsque l'on me dit non ?
C'est quoi le risque de dire non ?
Je vous invite à écrire les questions l'une après l'autre et observer dans votre corps comment vous vous sentez en lisant la question puis en la lisant à voix haute. indiquez dans votre carnet tout ce que vous avez senti.
Quelles sont les sensations qui ont émergés ?
Avez-vous eu des souvenirs de votre enfance ou de moment de votre vie ?
Pouvez-vous relier ce qui se joue en vous au regard du non ?
Bien souvent, nous sommes limités par des peurs, des injonctions, des héritage familiaux ou "transgénérationnel". Parfois suite à ce qui remontent, il peut être judicieux d'ouvrir la discussion avec les personnes qui sont apparues dans les "souvenirs" (cf mémoires)
En mettant en lumière ou à jour, nous pouvons rencontrer ce qui m'enferme et je reprend peu à peu le pouvoir sur ce qui nous empêche.
Oser dire non, c'est s'affirmer
Lorsque je dis non, je mets permet d'être au clair vis-à-vis de mon interlocuteur :
je pose mes limites
j'exprime mon besoin qui n'est pas celui de l'autre
je me fais respecter (en me respectant)
je me donne du temps
j'exprime une peur
Il est difficile pour nombre d'entre-nous car on pense que dire non est assimilé à "refuser". Dans ce cas, rappelez-vous que vous refuser la demande et pas la personne.
Se faire accompagner
Si je suis "bloqué" que je n'y arrive pas par moi-même avec les exercices ?
Un accompagnement peut s'avérer nécessaire, je peux vous aider dans une séance de kinésiologie consciente notamment.
Si vous êtes face à une situation de violence quelle qu'elle soit, présente ou passée, prenez contact avec une cellule de soutien au plus vite :
☎️ Par téléphone :
le 17 (police, gendarmerie) le 114 (personnes sourdes, malentendantes, aphasiques, dysphasiques) le 3919 (violences faites aux femmes, à leur entourage et aux professionnels concernés. 💻 Par internet (annonce en ligne) : https://www.service-public.fr/cmi
ℹ️ Plus d'informations : https://arretonslesviolences.gouv.fr/besoin-d-aide
En conclusion
J'aborde dans cet article certaines directions, toutes ne sont pas présentes. Il s'agit e sont des conseils éprouvés personnellement ou en séance.
Je vous suggère des décodages pour vous donner certains outils. Cela ne remplace pas des suivis thérapeutiques spécifiques.
J'espère que vous aurez trouvés de quoi vous faire évoluer au sein de vos relations lors de conflits que vous serez plus à même de vous positionner.
Ces méthodes d'observation des situations relationnelles et ce genre d'exercice sont lors des ateliers que je vous propose régulièrement, réservez votre place !
Vous trouverez dans mes programmes en ligne (à venir dans le courant de l'été-automne 2024) autant de questionnements, exercices, outils, de la kinésiologie pour vous apportez cette autonomie personnelle dans tous les pans de votre vie. N'hésitez pas à vous lancer !
Vos avis et commentaire sous ce post ou à partager dans le groupe de la communauté Au Coeur sont les bienvenus ✨
Prenez soi de vous et de vos relations
Roxanne










